Une petite pensée pour toutes les Ysaline et toutes les mamans qui prennent pour la première fois le chemin de l'école cette année. Bon courage à vous mesdames.
Lire la suiteUrbalienisé
Aux pieds des buildings S'échinent des foules dingues Qui cherchent des vies dignes En suçant un flingue. Du nectar des vignes Aux semences des seringues. Plastiquer les zodiaques, Constellnation, consternation. Halo à l'envers Bétonnés de lumière Pris...
Lire la suiteUnion
Au gré de la lave, dansons suavement, Une nuit volage, une nuit d'orage. Au gré de la lave, dansons conjointement, Ondulations sauvages du mariage d'antan.
Lire la suiteLe jeune homme et la mer
Souffler le feu des phares Pour précipiter une fin féérique Sans bouée, sans boussole ni but. Défier le chemin d'éther Qui déterre l'encre Face aux embruns, à tous les vents. Sans phare ni fard. Des vagues comme des griffes Sur le visage clos de celui...
Lire la suiteCinquième partie.
7h23. Le bruit familier des éboueurs rangeant les poubelles tire Honoré de son sommeil. Mollement, il ouvre un oeil, puis l'autre. De gauche à droite, il sonde l'horizon. La grotte est encore enbrumée. La lumière est pâle. La table basse est lasse de...
Lire la suiteQuatrième partie.
Elle marche dans sa direction, d'un pas régulier et souple. Un trench couleur sable, un jean dont la coupe met en valeur ses courbes délicates et des petits talons qui galbent agréablement le mollet. En un clin d'œil, Honoré a enregistré l'image de sa...
Lire la suiteTroisième partie.
Ce matin encore, c'est sur son canapé qu'Honoré ouvre péniblement un œil. Un bref aperçu des lieux lui permet de se remémorer le fil de la soirée : l'ordinateur allumé, personne n'est venu lui parler, un morceau de pizza gisant dans sa boite sur la table...
Lire la suiteDeuxième partie
L'une d'elle attirait particulièrement son attention. C'est d'ailleurs pour la croiser qu'il sortait si tôt le matin. C'est à l'aube, avant de partir au travail, que Blanche promenait Raspout, son sharpeï au poil gris et à la moue baveuse. Quand Honoré...
Lire la suitePremière partie
Pour le voir, il fallait sortir tôt le matin. On pouvait alors le croiser dans les rues de son quartier, vêtu d'un par-dessus usé qu'il enfilait directement sur ses vêtements de nuit comme s'il ne savait pas si le jour était levé. Il allait ainsi parfois...
Lire la suiteRouge
Les yeux d'obsidienne sur le trône de Brume. Et brûlent les rivières, Brûlent les montagnes, Et brûlent les cieux. La pureté peut-elle se retrouver ailleurs que dans le souvenir ?
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