Cela faisait maintenant près de deux mois qu'Honoré avait accepté un nouveau travail. Il était manutentionnaire dans un petit dépôt de banlieue. Toute la journée durant, il portait des cartons, préparait des commandes, rangeait des bobines de fil de cuivre...
Lire la suitele sofa d'honore
Cinquième partie.
7h23. Le bruit familier des éboueurs rangeant les poubelles tire Honoré de son sommeil. Mollement, il ouvre un oeil, puis l'autre. De gauche à droite, il sonde l'horizon. La grotte est encore enbrumée. La lumière est pâle. La table basse est lasse de...
Lire la suiteQuatrième partie.
Elle marche dans sa direction, d'un pas régulier et souple. Un trench couleur sable, un jean dont la coupe met en valeur ses courbes délicates et des petits talons qui galbent agréablement le mollet. En un clin d'œil, Honoré a enregistré l'image de sa...
Lire la suiteTroisième partie.
Ce matin encore, c'est sur son canapé qu'Honoré ouvre péniblement un œil. Un bref aperçu des lieux lui permet de se remémorer le fil de la soirée : l'ordinateur allumé, personne n'est venu lui parler, un morceau de pizza gisant dans sa boite sur la table...
Lire la suiteDeuxième partie
L'une d'elle attirait particulièrement son attention. C'est d'ailleurs pour la croiser qu'il sortait si tôt le matin. C'est à l'aube, avant de partir au travail, que Blanche promenait Raspout, son sharpeï au poil gris et à la moue baveuse. Quand Honoré...
Lire la suitePremière partie
Pour le voir, il fallait sortir tôt le matin. On pouvait alors le croiser dans les rues de son quartier, vêtu d'un par-dessus usé qu'il enfilait directement sur ses vêtements de nuit comme s'il ne savait pas si le jour était levé. Il allait ainsi parfois...
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